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Revue Perluète

2/4/2022

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Article sur "L'Île batailleuse" signé Dominique Panchèvre, Directeur de Normandie Livre & Lecture !
Remerciements chaleureux à l'auteur pour son texte paru dans la revue Perluète.

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Rencontre et dédicaces de L'Île batailleuse à la Librairie Doucet au Mans

2/4/2022

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Rencontre et dédicaces de "L'Île batailleuse" à la librairie Le Passage, Alençon

1/5/2022

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Rencontre et dédicaces de "L'Île batailleuse" à la Librairie Doucet, Le Mans

12/30/2021

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Samedi 22 janvier à 17h, Nicolas Rozier, accompagné de son éditrice Delphine Duroy, présentera et dédicacera son dernier roman "L'Île batailleuse".

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Revue Europe Joyce/Ulysse/1922 : note de lecture de Fabien Aviet sur "D'Asphalte et de nuée" (2021)

12/22/2021

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Merci à Fabien Aviet qui aborde avec superbe "d'Asphalte et de nuée":
"Si adolescents perdus, enlevés et séquestrés vivent le bagne et en réchappent après avoir fomenté leur évasion: une bande hétéroclite de vagabonds héroïques qui se détachent à peine du paysage, aussi rêches et dénudés. Mais ces corps tuméfiés et leur esprit portent leurs blessures comme des tatouages :"Le visage qu'on leur connaissait semblait remonté à l'envers"."

Fabien Aviet est éditeur aux éditions L'Harmattan
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Rencontres au lycée Saint-François-de-Sales, Alençon

12/2/2021

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Sur l'invitation de son éditrice Delphine Duroy, Nicolas Rozier est venu à la rencontre des lycéens et étudiants du lycée Saint-François-de-Sales à Alençon pour présenter son dernier roman "L'Île batailleuse". Il a ainsi répondu aux nombreuses questions des élèves au cours des deux séances de 2h intenses et enrichissantes qu'il a offertes à ces jeunes gens. 
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Extrait de la rencontre animée par Hugues Robert de la librairie Charybde, Ground Control, Paris 12ème

11/7/2021

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"Un très grand merci à Nicolas Rozier et à Delphine Duroy pour cette chaleureuse soirée d'hier, entre bocage normand et îles de l'Ouest, entre combats intérieurs et quêtes de perfection artistique, entre tendresse et brutalité - sous le signe d'une phrase rare, puissante et omniprésente. "L'île batailleuse" est parmi nous." Hugues Robert. Photo : ® José Cañavate Comellas
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Rencontre le 5 novembre Librairie Charybde Ground Control, Paris 12è

10/25/2021

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Hugues Robert reçoit Nicolas Rozier pour parler de son dernier roman L'Île batailleuse. Vendredi 05/11 à 19h30.
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"D'Asphalte et de nuée", note de lecture d'Alexandre Thevenot, écrivain et éditeur.

6/12/2021

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Cher Nicolas,
J'ai achevé la lecture de ton roman de "mésaventure", "D'Asphalte et de nuée", et je me suis vu sorti de ce bain de prose remuante bien rasséréné, avec la ferme conviction que ton imaginaire trouve dans cette forme de texte un terrain de jeu dense et idéal. Ce qui me plaît dans cette œuvre tient dans les environnements que tu ne cesses de décrire et dont les métamorphoses servent autant d'enveloppe que de parcours aux figures cherchant l'incarnation que de berceau au travail de ton écriture. Narwik paraît moins un bagne clandestin qu'une maternité des oubliés où quelques individus réunis par la force de l'abandon égrènent en eux et entre eux un tumultueux désir d'arrachement. Cette poussée constitutive du récit conduit ton texte à épouser la richesse la dynamique du roman d'initiation, genre dont le maniement précis des codes rappelle combien il permet d'exploiter intensément le caractère des personnages pour leur faire éprouver le pire et le meilleur d'eux-mêmes. Ces ombres cherchant à faire lumière de leur condition, quel qu'en soit le coût, ne se doutent pas que fuir ne leur servira jamais à rompre avec l'étanchéité du corps. Les paysages défilent, les aspirent plutôt, se teintent du reflet de leurs humeurs, jusqu'à l'inéluctable, dépeints grâce à un style plein d'acuité dans lequel je reconnais une gémellité avec ton œuvre picturale. Tu y requiers la même violence et le même éclat, puis tu t'efforces constamment, mots après mots, touches après touches, à déployer l'étagement des nuances de matières et de tensions dont ils sont faits.
Je reconnais bien évidemment certains emprunts- ton goût pour la série B, ses fulgurances esthétiques et rythmiques, ton attachement aux ambiances mystérieuses, à l'équivoque de certaines atmosphères mais aussi aux charmes luxuriants de l'utopie - mais ceux-ci sont plus le point de départ de (mes) rêveries personnelles que de références explicites- l'économie carcérale et l'époque de dépossession au début que commente ta description des cachots, des salles de torture et des jeunes aux abois m'ont  autant fait songer à "Zéro de conduite" qu'à certains films d'Emilio Miraglia, de Sergio Martino ou de Dario Argento; pensées qui me reviennent avec l'évocation d'un obscur réalisateur italien, à la fin aussi dans les salles secrètes et menaçantes de la demeure de Rosalba, lieu également propice aux cérémonies rappelant presque l'exotisme de palais antiques tels qu'ils sont représentés dans certains péplums ou films de science-fiction. S'appuyer sur ces motifs et garder intacte ta fonderie de langage est une des forces de travail que tu mènes, car non content de donner au fond du roman sa nature de sujet concret, de permettre au lecteur de s'y accrocher, tu affirmes et remets au centre de l'écriture l'enjeu de trituration de la langue. Le titre résume assez bien ce parti pris d'ailleurs, l'éternelle opposition du sol au ciel te place dans la filiation "post-romantique-parnasso-décadente" qui n'est pas usurpée.
Pour autant les changements de tonalité sont bien présents. L'arrivée à la montagne, par exemple, est un passage particulièrement intéressant où, moins soumis à la pression, les personnages commencent à se singulariser. La rencontre avec l'explorateur, assez belle, presque irréelle, à la faveur d'un bivouac nettement amélioré, te révèle sous un autre jour, et il ne me semble pas t'avoir déjà lu sur un ton allant vers l'humour, l'incongru voire le burlesque. Cette légèreté soudaine ne sacrifie pas pour autant la précision du vocabulaire et la minutie habituelle avec lesquelles tu composes les images. Tes descriptions enivrantes de la montagne renouent avec la grande tradition humaniste et romantique qui voyait dans ces jardins d'altitude situés entre les fonds de vallée verdoyante et la face décharnée des cimes, de vrais havres de paix. Je connais bien ces territoires, leurs représentations stéréotypées, leurs puissances symboliques...Nulle surprise de te voir aussi utiliser les ingrédients du conte, autre genre important au sein duquel s'épanouissent les récits d'initiation, et en transposer l'énergie que ce soit pour caractériser les personnages - Rosalba dans ses rôles de veuve, de nymphomane, d'artiste et de prêtresse-, donner quelque horizon à l'histoire- la promesse d'initiation d'Henkel- ou créer l'action pure- l'attaque de l'ours.
Sacrée palette que ce roman dont je félicite la fraîcheur, qui pourrait néanmoins paraître difficile à suivre tant le cheminement à l'aveugle et le brouillard affectif qui impactent la petite troupe charpentent les pages. Bel assemblage de mots, belle suite de justes compositions, d'osmoses, qui ne cèdent jamais la structure du roman -bien saillante- contre d'absconses abstractions. J'ai toujours aimé te lire dans la prose. Ton appétence pour quelques personnes comme Artaud, Prevel ou Giauque, cette faculté qui t'est propre à mettre ton écriture au service de l'acharnement et du péril avec lesquels ils ont traversé leur vie, composé leurs œuvres, je la retrouve ici à portée des personnages, nourrissant leur contradiction d'aspirer aussi haut et de rester aussi bas, les faisant vivre leur liberté comme un sursis, comme une amplitude à la violente élasticité. Ce creuset de vallée aux atours séduisants devient le théâtre de leur tragédie rappelant qu'on ne se défausse ni des matières, ni du passé; nous sommes faits.
J'ai été agréablement surpris par le résultat de ce travail éditorial. La couverture en jette, mais nous avions je me souviens déjà discuté de l'importance et de la liberté de faire éclater ta peinture de cette manière. Le format du livre et la mise en page sont très bien, la police, la taille des caractères, l'en-tête ont été travaillés, pesés et choisis avec soin. C'est agréable à manipuler et à lire.

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"D'Asphalte et de nuée", note de lecture de Jacques Cauda

6/10/2021

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Jacques Cauda est écrivain, réalisateur de films documentaires, peintre et éditeur.

PhotoSurfiguration de Jacques Cauda sur "Portrait de Stanislas Rodanski" de Nicolas Rozier, acrylique 146x114.
Cher Nicolas,
Dès les premières pages, le Nord (le mot) est venu vite jusqu’à moi.  Monté comme des blancs en neige. Sans doute par les w et les k, qui sonnent viking… Narwik… Alliés à des photos vues il y a peu, photos faites par une amie qui a voyagé sept fois (dans sa bouche et) en Islande. Et le titre du livre de Céline qui a pourtant peu à voir avec votre d’asphalte et de nuée. Chez Céline le mot est musical, chez vous pictural. Il se mâche, se mange comme la peinture. J’ai toujours approché et rapproché la cuisine de l’atelier. La table : le tableau ! Le cuistot sort du néant l’animal mort comme le peintre sort son « objet » de son néant. L’un comme l’autre le donne à voir et à manger. Ne serait-ce pas aussi le sens de l’eucharistie ? Avale et tu verras !
Passé cette montée du Nord, j’ai dévoré. Appétit d’ado parmi vos ados.
Avec ce paradoxe, celui d’être et au Nord et dans un roman terrifiant dont la géographie est toujours méditerranéenne, Espagne, Italie, France du sud. J’évoque ici Walpole, Radcliffe, Lewis, etc. Leurs romans gothiques et leurs châteaux de la subversion qui chez vous sont des terrains dit vagues, hangars, no man’s land… où sévissent les sévices ! Château de Barbe-Bleue, château de Lacoste, Sade raconté à l’enfant que je suis (re)devenu à vous lire. Délicieusement terrifié par vos ogres, eux aussi dévorateurs aux mâchoires frénétiques ! Noir récit pour ma pupille noire du qui-vive ! Pensée en alerte filant entre vos lignes tendues comme des rets.
Après l’air normand et les forêts poisseuses, vous me conduisez, cher Nicolas, rue de Malakoff ! Avec Nettie nue sur le lit jambes écartées…  Jeune fille en fleur prisonnière retrouvée (comme Albertine) qui à son tour va se retrouver mais à la montagne (Hautes-Alpes) parce qu’elle est plus minérale que l’arène de pierre, écrivez-vous. Que j’entends, à l’évidence,  comme La reine de pierre (jeu vidéo pour ado) en écho à la conversation que nous avons eue samedi à Charenton sur vos figurines poussiniennes, moteurs à essence de votre roman gothique !
"Le Hameau"
Avale et tu verras, ai-je déjà dit. C’est pourquoi vous démarrez votre Hameau (un décor de cinéma… murmura Henning) par un banquet, une danse des plats. Pour voir. Voir des images des films. L’œil du bourreau, La jupe et le caveau ! Des pellicules du genre fameux, le giallo.  Du roman noir au film jaune ! Dario Argento et Mario Bava y excellent ; ils ont l’œil sur  l’ondulante Rosalba Strebel virtuose des parois et des volumes.
L’image avec la lettre et la lettre avec l’image (vaste programme !) au milieu desquelles j’ouis votre narrateur, deux points, ouvrons les guillemets :
«Au milieu du chemin entre les lettres
je me retrouvai par une forêt de béton

sans recours et sans base arrière
quoi ? un trou du fond du mur du fond ?
la voix peut-être perdue ?
ah ! dire
cette forêt d’images féroces et âpres
qui renouvelle la peur comme  voir écrire
la pensée !
Oh si bonne peur que mauvaise l’est à peine plus
mais pour traiter du dire que j’y trouvai
je dirai des choses que j’avais peine à imaginer
mot vent flèche à l’assassin…. giallo

je ne sais pas bien redire comment j’y entrai
tant je fus plein de vigueur parlante
en ce point où j’abandonnai la voix intérieure
et j’entrai !

Je pris toutes les lettres
et toutes les images qui furent comme jetées au ciel
et de toutes les lettres et les images mêlées je fis
des images-lettres entortillées ensemble
tout autour de moi qui forçais
mille mots à mille pattes 
et tant qu’une fumée couvrit mon corps
de nouvelles couleurs
du noir et du jaune qui firent pousser les mots
les uns sur les autres
sans détourner les yeux du trou
et ainsi d’être
au centre du milieu d’autour de moi… le narrateur… »

Et ainsi infiniment, jusqu’au cri jusqu’aux flammes !
Merci cher Nicolas pour ces bonheurs de lecture.

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